Collection Jeune – Vieux. Immorale (2/2)

Hippie, on a pu le dire.
s, oui aussi.
Alcoolique, certainement.
Mais désintoxiquée ça c’est certain.
Salope surement.
Quand je pense au nombre de bites que j’ai pu sucer ou m’enfiler dans ma chatte tatouée d’un « Fuck me ».
Les nombreux piercings en tous genres.
Certains cachés les autres enlevés quand Bob m’a ramené de San Francisco où je vivais dans le quartier de Haight-Asbury.
La hippie que j’étais peut faire penser qu’en ce temps-là j’étais immorale.
Pute, non, une pute se fait payer pour baiser et je me suis toujours donnée.
Quoique lorsque Bob m’a proposé de revenir en France, quand j’ai accepté, je me suis vendue comme chaque femme mariée le fait à la différence que nous vivions dans le pêcher sans aucune bague au doigt.

Immoral, ce nom me va bien, quand je me suis fait baiser par Franck dans ma cuisine un jour où je l’avais fait venir pour réparer une fuite d’eau.
Il a réparé ma fuite ainsi que le feu que j’avais au cul.
Il en a été de même avec Julien son fils mais lui par un moment de pudeur, c’est dans mon salon que je me suis donnée.

Ce jeune étalon, je l’ai soufflé à Sylvie une jeune donzelle qui est fort jolie quand je l’ai reçu tout à l’heure.
Pour donner le change, elle est arrivée la première et je l’ai installé dans ma chambre d’amis au premier étage de ma maison.
Julien arrive une demi-heure après limitant les risques que quiconque est la mauvaise idée de passer dans ma rue à la même heure.
Elle est arrivée par la droite, lui par la gauche.

- Tu es sur Julia, après ce qui s’est passé entre nous, tu veux bien que je m’occupe de ma bien-aimé sous ton propre toit.
- J’ai été la première avec toi, ça me satisfait largement, cette jolie fille aura mes restes et de fort bons restes je dois dire.
- Monte à l’étage, première porte à droite, tu la trouveras pantelante d’amour pour toi.

Il court comme un cabri sautant deux marches par deux marches.


Je suis à deux doigts de les rejoindre, mais je respecte la première fois de la jeune fille.
Tiens les filles si nous en parlions, rare ont été mes rapports avec elles.
À San Francisco, une ou deux fois dans mes délires alors que je me faisais baiser, des chattes poilues sont venues au contact de mes lèvres, ma langue passant sur leur clitoris.
Je bois un verre de porto blanc.
Je suis désintoxiquée mais c'est la seule boisson alcoolisée que je me permets.
Une cavalcade dans les escaliers m’informe que les tourtereaux ont fini de batifoler.

- Merci Julia, c’était super, on pourra recommencer ?
- Quand tu veux, prévenez-moi avant que je prépare la chambre.
- Je file, Sylvie se repose, je l’ai explosée !
Elle va descendre dans quelques minutes comme nous avons prévu que les choses se passeraient.

Il file, je pose mon livre et je monte à l’étage.

- Je peux entrer ?
- Bien sûr tante Julia, vous êtes ici chez vous.
- Arrête avec tes tantes Julia et tes vouvoiements.
Nous sommes appelés à nous voir souvent, alors restons simple.
Tu es Julia ce sera plus simple.

Sylvie est assise dans le lit, sa poitrine dénudée, ses seins en forme de poire me donnent envie de les croquer.

- Ça va, ça s’est bien passé ?
As-tu passé un bon moment, je crois savoir que c’était la première fois ?
- À part le fait d'avoir un peu mal, tout va bien.
Je viens de regarder dès que Julien est parti, j’ai taché tes draps.

Je m’avance et je m’assieds sur le lit à son côté.

- Fais-moi voir, pour la douleur, je peux faire quelque chose pour te soulager.

Je retire le drap la montrant dans son intégrale nudité.
C’est exact, le sang des vierges est là, comme une petite carte aux contours incertains.
Je me lève et je vais dans ma chambre.
J’ai toujours un tube pour les douleurs vaginales que j’emporte quand je pars dans mes orgies de sexe.

Il m’est arrivé de tellement me faire défoncer que comme la petite j’avais des douleurs.

- Écarte tes cuisses Sylvie, je vais te passer de la pommade.

J’approche mes doigts couverts de pommade, je commence à la masser sans entrer de doigts de peur de la braquer.
Je sais d’expérience qu’il faut éviter de braquer les jeunes pucelles et y aller en douceur.
Surtout que Sylvie a un clito bien développé sortie en permanence de son capuchon.
C’est à lui que je m’attaque.

- Oh, continue Julia, je vais jouir caresse moi bien le clito, il aime être caressé.
- Tu l’as déjà fait.
- Seule oui, je me masturbe souvent.
- Je peux ôter mon peignoir ?
- Oui, vient près de moi, je veux moi aussi te caresser, dans la même journée j’aurais connu l’amour avec les deux sexes.
Oh, qu’est-ce que sait et pourquoi Fuck me !
- Je vois que tu es bonne en anglais tu sais ce que ça veut dire, souvenir de ma jeunesse américaine.
Je t’expliquerais un jour.
- Incroyable tous ces piercings tu les caches bien.

Avec elle pas du tout surtout quand me relevant amenant ma chatte au niveau de sa bouche, elle lèche mes anneaux et mon clitoris qui me font couler.
Après le père, le fils, c’est la future bru que je dévergonde.
Quand elle me quitte, plus tard que nous avions prévu dans mon plan, j’ai passé de la pommade au plus profond de sa chatte de vierge au début de l’après-midi.
Je l’ai sucé, elle m’a sucé, elle m’a fisté, j’ai évité de lui faire car son dépucelage est trop frais malgré la pommade.
Mais surtout ce son nos seins qui ont porté toute notre attention.
Je suis amoureuse de ses seins en poire et elle a aimé mes petites barrettes qui sont là depuis des années.
Elles font tellement partie de moi que si je voulais me les enlever, il faudrait me les arracher.
Ses parents possèdent une boutique de chaussures au centre-ville et ferment à 19 heures, le temps de tout ranger, ils sont chez eux un peu avant 20 heures 30.

Elle sait que nous avons le temps et nous savons en profiter.

- Julia, demain c’est possible ?
- Bien sûr, la chambre sera prête.

Ils viennent de monter, j’écoute, les cris de plaisir de la petite, son regard en a dit long sur l’envie de recommencer ce que nous avons fait la première fois où elle est venue.
Comme la première fois, je suis en peignoir, je suis chez moi et rien d’anormale d’être en tenue décontractée.
Quelques minutes, j’entends des murmures puis un haussement de voix.
Je monte en courant.
Ils s’engueulent.
Je comprends que je suis au centre de cette dispute.
J’entre.

- Du calme les s, que vous arrivent-ils ?
- Te voilà salope, il m’a demandé de me faire poser des piercings comme les tient.
Il vient de finir par m’avouer qu’il t’a baisé alors qu’il me soutenait que j’étais la première.
- Dit-moi Sylvie, lui as-tu dit que nous nous sommes gouinées dès son départ pendant un grand moment et que tu as adoré que nous nous bouffions les clitos.

J’ai cru qu’il allait lui sauter à la gorge, mais avec ma grande expérience du sexe, c’est moi qui ai réagi.
J’ai fait tomber mon peignoir leur montrant de nouveau mes particularités.
J’ai ouvert le drap et je me suis couchée à côté de notre mâle.
Notre mâle car rapidement nous sommes placés en levrette côte à côte.
Il passe de l’une à l’autre nous procurant à chacune bien du plaisir.
À un moment, je pimente les choses au moment où il revient, je passe ma main et je me fais enculer.

- J’ai bien vu où tu l’as fait entrer, Julien quand tu auras fini avec elle, encule-moi, je veux être en parfaite égalité avec notre salope.
Oui, Julia caresse-moi les seins, ils adorent ça.

Voilà, je pourrais m’arrêter là, rapidement nous formons le trio parfait.
Les petits ont fait savoir à leurs parents qu’ils souhaitent aménager ensemble.
Bien sûr, j’ai proposé de les héberger ayant une chambre inutilisée.

On leur a dit, mais la mienne est la seule qui nous sert quand nous ne baisons pas dans mon salon ou dans ma cuisine.
Ma table nous sert souvent là où Franck le père de Julien m’a baisé.

- Au revoir les s à lundi profitez bien de votre séjour chez ta grand-mère Sylvie.

Ils partent par le train où je les ai conduits.
Étant seule pendant deux jours, j’aurais pu profiter de ce que je suis à la gare pour monter dans le prochain train suivant celui à qui je fais signe même si les petits sont trop loin.
Non, Adeline sachant son fils loin, m’a invité à manger demain soir.
Étant près de boutiques de vêtements, je fais du shopping.

Je viens de sortir de chez moi, plus provocante que jamais.
Si je sais y faire, Franck et Adeline seront mes prochaines proies.
Vous pouvez me croire !
J’ai montré que je savais y faire côté sexe et je suis persuadée quand ils m’ouvrent la porte voyant ma copine habillée aussi façon salope que ça va être facile.
J’adore montrer mes piercings et se retrouver dénudé entre adultes consentants, c’est là la plus facile des manières.
Je suis surement la plus grande des salopes venue des Amériques !

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